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Il n'y a pas encore de nouveaux articles par ici mais je te garanti que dès qu'il y en aura...
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Ola, moi c’est Maryline.
Il y a 8 ans je mettais au monde mon premier garçon et découvrais l’univers de la parentalité.
J’ai vécu une première grossesse et un accouchement idéal. Enfin c’est ce que je pensais!
Mes 4 dernières grossesses ont été complètement différentes et mes accouchements d’une puissance démesurée.
Après ces différentes expériences, je me suis rendu compte que la femme, le papa
ou le co-parent manquaient de telllement d’informations. J’ai découvert le tourbillon
d’émotions du post-partum et les difficultés que l’on pouvait rencontrer, même au bout d’un an.
Aujourd’hui, je suis maman de 3 garçons épatant. J’ai vécu des matrescences qui ont complétement transformeés ma vision de la naissance et de la parentalité. J’ai rencontré des parents qui manquaient de soutien. Et je ne trouve pas normal que l’on puisse laisser les parents se débrouiller par eux-même alors qu’ils sont en difficulté.
J’ai donc décidé de faire grandir un dernier bébé, Made Yn Douceur, pour accompagner les parents, les préparer ou juste être leurs soutien.
Pendant mes 3 grossesses j’ai constaté le manque d’information que les familles pouvaient avoir autour de la parentalité.
J’ai découvert de nouvelles méthodes, plus douces pour accoucher. Une femme n’est pas obligée d’ »enfanter dans la douleur ».
Je me suis rendue compte que les parents n’étaient pas suffisamment accompagnés. Ne parlons même pas des co-parents.
Pire, j’ai constaté que les mamans n’étaient pas actrices de leurs accouchements mais qu’elles étaient infantilisées.
Mon objectif est de transmettre mon savoir et d’accompagner les parents pour qu’ils puissent être acteurs et avoir l’accouchement qu’ils souhaitent et le soutien dont ils ont besoin, avant, pendant et après l’accouchement.
J’ai assisté des professionnels pendant des années.
Aujourd’hui j’ai décidé d’offrir ce privilège aux parents pour qu’ils puissent préparer la parentalité qui leur correspond.
Je ne suis pas une sage femme.
Bien que j’accompagne des femmes dans leurs grossesse et après, je ne suis pas sage femme. Mon rôle est de venir en complément de la sage femme et l’équipe médicale (gynécologue, pédiatre, anesthésiste , puéricultrice …).
Je ne donne pas de prescriptions médicales.
Je ne suis pas là pour faire une quelconque concurrence aux sages-femmes. Au contraire, j’ai le plus grand respect pour ce métier et je suis triste de voir le manque de financement et de reconnaissance qu’elles ont.
Je suis persuadée qu’elles aimeraient passer davantage de temps à écouter leurs patientes. Ce manque à un impact direct sur les familles.
C’est pour essayer de combler ce manque que j’ai décidé de faire ce métier main dans la main avec elles.
Formée par des professionnels de la périnatalité, jee me perfectionne dans l’accompagnement au post partum pour t'offrir le Mois d’or qui te convient.
Je m’entoure et me perfectionne auprès de sage femme, de kinésithérapeute,d'ostéopathe, de psychologue et psychiatre…Tous investi dans la périnatalité.
Mais ceux qui m’en apprennent le plus c’est vous parents. Vous qui vous battez chaque jour pour vous, vos enfants, votre famille.
La parentalité ne doit plus être idolâtrée.
Chacun fait comme il peut dans son rôle de parent
Ce n’est pas toujours un long fleuve tranquille.Parfois c’est tumultueux et tu chavires. L’essentiel est de trouver ce qui te permettra de ne pas couler.
Je t’accompagne à créer ta nouvelle famille et je mets en valeur tes compétences.
Mon premier accouchement a été classique, j’avais fait tous mes cours de préparation à l’accouchement avec le papa, j’étais prête.
Quelques mois avant j’avais eu l’honneur de participer au travail de ma petite sœur qui avait parfaitement géré ses contractions. Elle avait juste eu le temps d’arriver à la maternité pour accoucher car ma nièce était déjà en train de sortir. Pour moi, elle avait été parfaite, elle avait réussi à accoucher sans péridurale !
Toute fière que j’étais et après avoir vu ma soeur pour son accouchement je m’étais mis en tête que t’étais suffisamment forte, en tout cas au moins assez forte pour gérer aussi bien que ma petite soeur. Elle y était arrivée, pourquoi pas moi ?
J’avais donc décidé d’accoucher sans péridurale.
Le jour de l’accouchement j’ai vite compris que c’était ma première erreur de parent : ne jamais se comparer aux autres !
Lors des premières contractions, j’ai moins fait la fière. Dès que j’ai senti les premières contractions rapprochées, nous sommes directement allés à la maternité. Au vu de la douleur que je ressentais, j’ai directement demandé la péridurale. La femme forte et toute fière que j’étais avait complètement disparue ! Et j’étais loin de mes peines lorsque j’appris que le travail n’était pas suffisamment avancé pour avoir la péridurale. J ‘étais a 2 et il fallait attendre d’être à 3.
Ca c’était pas prévu dans le scénario !
J’ai donc dû attendre. J’ai pris mon mal en patience, j’étais couché sur le lit, branché à tous les appareils et je serrais les dents à chaque nouvelles contractions.
Vous n’imaginez pas la délivrance que j’ai ressenti lorsque j’ai reçu la péridurale. Bien que j’étais terrifié par cette énorme aiguille qui allait rentrer dans mon dos, cette peur avait complètement disparu tellement je souffrais des contractions…
Une fois la péridurale posée, c’était magique, la douleur avait disparu. Je sentais légèrement les contractions et c’était parfait. Je suis restée tranquillement dans mon lit à attendre, jusqu’au moment où tout le monde s’est emballé, une série de médecins sont entrés dans la pièce en m’indiquant que c’était le moment… J’avais tellement peur d’une quelconque complication que j’ai poussé de toutes mes forces dès que la sage femme me le disait.
En 23 mins top chrono il était expulsé. Un bébé né en bonne santé grace à une super sage femme qui m’avait guidée avec suffisament de force pour me motiver, que d’amour et de bienveillance pour que je ne me sente pas agressée.
C’était l’accouchement idéal !
Mon 2ème enfant n’a pas vécu longtemps. La vie a fait qu’il est parti au bout de 10 SA.
Le vendredi 18 janvier 2019 j’apprenais lors de la première échographie que le cœur de mon bébé ne battait plus.
J’ai rapidement dû choisir la méthode pour le sortir de mon utérus. J’ai dû attendre tout un week end avec mon bébé mort dans mon ventre avant de faire un curetage. Puis le gynécologue l’a enlever sans même que je n’ai pu dire quoi que ce soit à mon enfant. Non pas qu j’avais quelque chose à dire. Mais aujourd’hui je me rend compte que je n’ai pas eu de choix.
On nous apprends que tant que le bébé est embryon il n’est rien, ne représente rien. Sauf que ce que l’on ne nous apprend pas c’est que ce petit être avait pris une place immense en moi. Certains jours, il prenait une place énorme en moi. D’autres je le sentais bouger. Je n’étais pas prête à une telle annonce. Mais je n’étais pas prête à la réaction des autres…..
« Tu sais tu n’es pas la seule, ça arrive à 1 femme sur 3 », « ça va passer », « faut que tu reprennes le travail ça va te changer les idées »… Tellement de phrase qui me blessait. Franchement qu’est ce que je m’en fichais des autres ! C’est peut-être méchant à dire mais à l’époque c’était ma souffrance devait être écoutée pas celle des autres. Et puis en refléchissant 33% des femmes et 25% aujourd’hui. Est ce que c’est bien normal ?
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Madeyndouceur
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